samedi 24 janvier 2009

Non mais parce que faudrait savoir...


Maintenant que je suis là, il va falloir m'y implanter. M'y enraciner, avec des rhizomes et des radicelles, les branches vers la lumière et les feuilles au vent. Et, petit à petit, continuer de grandir, d'élargir mon tronc, de bourgeonner et de puiser inlassablement de quoi me nourrir, le corps et l'esprit. Le lieu me plaît, ceux qui y vivent déjà aussi. Mon petit me dit y être heureux. Belle frondaison. Apprendre à être là.
Sans penser quand j'y suis, à ce que pourrait être un ailleurs.
Et la souplesse, attention à ne pas confondre terre et ciment, bois et béton. Le vieux cèdre de 186 ans a cédé sa place au vent, je l'avais enlacé en novembre.
Contrairement à ce que l'on pourrait penser, le vent ne fait pas place nette.

2 commentaires:

Anonyme a dit…

Soyeux heureux là-bas, alors... en espérant vous y voir également ici, avec le soleil en moins.

Anonyme a dit…

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