Maintenant que je suis là, il va falloir m'y implanter. M'y enraciner, avec des rhizomes et des radicelles, les branches vers la lumière et les feuilles au vent. Et, petit à petit, continuer de grandir, d'élargir mon tronc, de bourgeonner et de puiser inlassablement de quoi me nourrir, le corps et l'esprit. Le lieu me plaît, ceux qui y vivent déjà aussi. Mon petit me dit y être heureux. Belle frondaison. Apprendre à être là.
Sans penser quand j'y suis, à ce que pourrait être un ailleurs.
Et la souplesse, attention à ne pas confondre terre et ciment, bois et béton. Le vieux cèdre de 186 ans a cédé sa place au vent, je l'avais enlacé en novembre.
Contrairement à ce que l'on pourrait penser, le vent ne fait pas place nette.
2 commentaires:
Soyeux heureux là-bas, alors... en espérant vous y voir également ici, avec le soleil en moins.
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